LISTE DE DÉMOCRATIE PARTICIPATIVE POUR LES ÉLECTIONS MUNICIPALES 2008 A ALFORTVILLE

dimanche 27 janvier 2008

QUAND LE MAIRE D'ALFORTVILLE DETRUIT L'ENVIRONNEMENT

La préoccupation environnementale n'est décidément pas le point fort de Monsieur Rouquet. Un de nos colistiers nous fait parvenir le texte et la photographie suivante, qui montrent bien que le maire sortant n'est pas un éco-citoyen, mais un pollueur.

Bel exemple de destruction de l'environnement


La municipalité "entretient les espaces verts" à Alfortville à l'aide de désherbant total. Sur la photographie ci-dessus (quai Jean Baptiste Clément sur la rive de la Seine), chacun peut constater que le talus a été traité au désherbant, ce qui explique l'absence de végétaux. Le sol est pollué.

La bio-diversité, la protection des espaces verts, le respect du cadre de vie ne font pas partie du quotidien de l'équipe sortante. Cela ne l'empêchera vraisemblablement pas, dans son programme, de se proclamer championne du développement durable.

Dans le tract distribué ce samedi sur le marché Carnot, Monsieur Rouquet déclare: "J'aime notre ville". Et bien, Monsieur Rouquet, non, vous ne l'aimez pas pour lui infliger un tel traitement.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Le Guide 2008 d'Alfortville est un brillant exemple de la "communication" à Alfortville.

L'infographie y est particulièrement subliminale :
pas de cartouche qui explique les coloriages : le vert recouvre donc aussi bien les "squares", les décharges permanentes des abords extérieurs du cours Beethoven, les terrains de sport en stabilisé, le terre plein de l'écluse...
le gris, lui, est attribué à la Mairie, aux édifices scolaires, à Sanofi-Aventis, aux déchetteries, Sepur et autres entreprises, (la gare marchandises SNCF Verdun-Babeuf y étant toutefois ignorée.
"Vue de l'artiste", chacun verra ce qu'il veut...

J'allais oublier,
pour ce qui est du "centre aquatique"-fleuron à venir de notre ville, et des sommes qui lui sont déja imputées en études diverses :
prenons exemple sur la cour de l'école maternelle Louise-Michel (qui est à cette heure, 16 heures, le 1er février) comme d'habitude recouverte à moitié par une énorme flaque d'eau - ses deux évacuations étant bouchées - les bailleurs voisins paieront dès demain le dégorgement, comme d'habitude... mais on a pied, la pataugeoire des enfants est disponible!!!

Un audit de ces interventions récurrentes à chaque nuage fait par l'OHSA-ASGE ainsi que leur ventilation aux différents bailleurs serait le bienvenu. >-)

 


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